Home Institution
Cornell University
Publication Date
Fall 2009
Abstract
Le pays de Madagascar est surtout célèbre pour sa diversité biologique et sa pauvreté économique. Quatre-vingt-dix pourcent des espèces sauvages sont endémiques (Jolly, 2008) ; d’après le « Human Development Report » le plus courant, Madagascar compte 145ième parmi les 182 pays évalués (2009). Au même temps que la population humaine se multipliait rapidement et plusieurs populations des espèces menacés diminuaient, le cheptel national est reste environs 10 million bétail pendant les deux dernières décennies (World Bank, 2003 ; Rasambanarivo et al, 1994). En 2000, l’élevage extensif de ces animaux s’est atteint à 32 millions hectares, ou 55% de la superficie du pays (World Bank, 2003). Les éleveurs malgaches sont souvent à la fois les cultivateurs ; 80% de la population pratique la culture, utilisant, en comparaison, environs 6% de la surface malgache (CIA World Fact Book, 2009). A Madagascar, les bétails, surtout le zébu, ont aussi une influence culturelle, à la fois écologique et économique. Cette relation nuancée entre les zébus, les Malgaches, et l’environnement évoluait depuis centaines des années et continue à évoluer jusqu’à ce moment-là. - Excerpt from introduction
Disciplines
Natural Resource Economics | Natural Resources Management and Policy
Recommended Citation
Fisher, Michelle, "L’adoption de Bracharia par les Éleveurs Mahafaly : Un Étude du Projet de AVSF Dans la Commune de Betioky" (2009). Independent Study Project (ISP) Collection. 739.
https://digitalcollections.sit.edu/isp_collection/739
Program Name
Madagascar: Biodiversity and Natural Resource Management